Parti Socialiste des Olonnes (Vendée) - Bienvenue

Pierre Regnault : "Oui à plus d'intercommunalité, non au tripatouillage électoral".

COMITE BALLADUR. Présent ce matin à l’Association Des Communautés de France (ADCF) et auditionné il y a quelques mois par le comité Balladur en tant que Vice-Président de la Fédération des Maires des Villes Moyennes (FMVM), Pierre Regnault confirme qu’un consensus semble s’opérer sur certaines évolutions notamment dans le cadre des intercommunalités et sur le fléchage des élus intercommunaux sur les listes communales.

Rapport Balladur : un "mécano à côté de la plaque" pour Alain Rousset.

COLLECTIVITES LOCALES. "L'administration du territoire est, en France, une question éminemment politique". Ce sont les premiers termes du rapport du comité Balladur. Des propos qui sonnent comme un aveu pour Pierre Mauroy, membre du comité : "Je pense que la droite est sortie humiliée des élections régionales de 2004, et qu'elle a voulu donner un coup de pied dans la fourmilière. Il s'agit pour elle de reprendre le pouvoir : donc elle change tout et brouille tout."

* LE RAPPORT COMPLET :

Téléchargement Rapport Commission Balladur - Février 2009

* LES PRINCIPALES PROPOSITIONS (source : Le Monde.fr) :

Institutions : à trop cumuler..

ASSEMBLEE NATIONALE. La réforme des institutions, réforme phare de Nicolas Sarkozy a été rejetée ce matin par la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale à une voix près. C’est un nouveau désaveu pour la politique de la majorité après celui relatif aux OGM hier.

Louis Guédon, alors qu’il est membre de la commission des affaires étrangères, était une nouvelle fois absent lors du vote. Par son absentéisme, il a permis le rejet, à une voix d’écart, du projet de révision des institutions.

Si nous sommes satisfaits de ce rejet par la commission des affaires étrangères, nous ne pouvons accepter l’absentéisme chronique de Louis Guédon car cet absentéisme c’est celui de notre circonscription à l’Assemblée nationale.

Certes, M. Louis Guédon a d’ores et déjà annoncé que son mandat de député était le dernier, cela ne justifie en rien d’avoir déjà renoncé à exercer pleinement ses obligations d‘élu, au premier rang desquelles l‘assiduité.